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STRATEGIES

STRATEGIE GLOBALE

  • Penser globalement, agir localement
    Nous préconisons une approche combinée, rencontrant les deux approches (top-down/ Bottom-up) dans des États démocratiques, afin de maximiser les effets sur le développement tant local que national et global.
  • Le passage du micro au macro
    La plupart des organisations de développement réussissent au niveau micro grâce à des initiatives adaptées aux besoins locaux, soutenues par des membres motivés. Nous soutenons que le succès micro doit être accompagné d’une capacité d’extension pour avoir un impact à une échelle plus vaste. Investir dans la capitalisation d’études de cas et des
    programmes de recherche-action, peut permettre de tirer des leçons pour que les succès locaux puissent avoir un impact plus large dans d’autres régions ou pays.
  • La progression vers l’autonomie
    Progresser vers l’autonomie signifie acquérir la maîtrise d’un certain nombre de techniques, de méthodes et de stratégies susceptibles de permettre aux organisations de développement de mieux collaborer avec leur environnement (gouvernements, banques, aide extérieure) et de gérer au mieux les conflits que peuvent engendrer la promotion d’activités économiques au sein d’une organisation dont l’objectif final est social.

STRATÉGIE OPÉRATIONNELLE

La stratégie opérationnelle s’articule autour des thèmes d’action suivants :

  • Accès à l’information et à la technologie. Elles constituent à l’heure actuelle un nouveau pouvoir. Sans l’accès à l’information, et la maîtrise de la technologie, il ne sera pas possible de construire des rapports équitables.
  • La progression vers l’autonomie. Elle repose sur une stratégie en plusieurs étapes :
    • La compétence et la crédibilité des Organisations, indispensable à leur autonomie économique et politique.
    • Le renforcement des capacités d’auto gestion
    • Le renforcement des méthodes de gestion, de planification et d’évaluation, et la formation des cadres.
    • La recherche d’alternatives au système de financement actuel,
    • La formation des cadres des organisations aux négociations et à une meilleure connaissance des problèmes et mécanismes macroéconomiques, condition de leur action au niveau local.
    • La construction de nouvelles solidarités. Ce sont ces nouvelles solidarités qui permettront de proposer des réponses crédibles, qui pourront alors être appuyées par des organisations solidaires et fortes.
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