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Formation en Agroécologie : le Dr Oumar Diabaté partage ses connaissances avec plus de 320 agriculteurs
- 25 juin 2024
- Publié par : WebTeam Master
- Catégorie : Ecologie
Le Centre Sahélien de Formation et de Recherche en Agroécologie(CSFRA) s’impose comme un centre d’excellence dans la formation des agriculteurs en agroécologie. Fort de plus de 15 ans d’expérience, le Dr Oumar Diabaté a déjà dispensé des formations à plus de 320 agriculteurs à travers le Sahel.
L’agroécologie, une approche prometteuse pour l’agriculture sahélienne
L’agroécologie, une approche agricole durable qui s’inspire des écosystèmes naturels, offre des solutions prometteuses aux défis auxquels l’agriculture sahélienne est confrontée. Face aux changements climatiques, à la dégradation des sols et à la raréfaction des ressources en eau, l’agroécologie permet aux agriculteurs de cultiver des produits sains et résilients tout en préservant l’environnement.
Un Dr. passionné et engagé
Animé par une passion débordante pour l’agroécologie, Dr Oumar Diabaté du CSFRA met tout son savoir-faire au service des agriculteurs sahéliens. Ses formations, dispensées en français et en langues locales, combinent théorie et pratique pour permettre aux participants d’acquérir les connaissances et les compétences nécessaires pour mettre en œuvre des pratiques agroécologiques adaptées à leurs réalités locales.
Des résultats concrets et encourageants
Les résultats des formations en agroécologie dispensées par Dr Oumar Diabatésont encourageants. Les agriculteurs formés ont pu améliorer leurs rendements, réduire leurs coûts de production et accroître leur résilience face aux aléas climatiques. Ils ont également développé de nouvelles compétences en matière de gestion des sols, de gestion de l’eau et de production de semences de qualité.
Un modèle à suivre et à amplifier
L’expérience du Dr Oumar Diabaté démontre le potentiel immense de l’agroécologie pour transformer l’agriculture sahélienne. Son engagement et son expertise font de lui un modèle à suivre et à amplifier. En multipliant les formations et en soutenant les agriculteurs dans la mise en œuvre de pratiques agroécologiques, nous pouvons contribuer à un Sahel plus vert, plus prospère et plus résilient.